EN BREF
|
Le LDLC Asvel, club de basketball présidé par Tony Parker, s’engage à renforcer sa responsabilité sociétale avec l’intégration de nouveaux mécènes. Dans le cadre de son programme citoyen, le club envisage de réaliser un bilan carbone pour mesurer et réduire son impact environnemental. Maureen Reat, directrice adjointe de la Tony Parker Adéquat Academy, souligne l’importance d’impliquer l’ensemble des acteurs, y compris le personnel, les joueurs et les supporters, pour établir une feuille de route efficace visant à réduire l’empreinte carbone du club.
Le club de basket LDLC Asvel, présidé par la légende du basketball Tony Parker, s’engage dans une démarche innovante et responsable en cherchant à réduire son empreinte carbone. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’un programme citoyen qui s’étend sur une décennie, et vise à intégrer des mesures écoresponsables au sein du club, tout en renforçant les liens avec la communauté. Grâce à l’appui de nouveaux mécènes tels que LDLC, Adéquat et Ciril Group, l’Asvel aspire à cartographier son impact environnemental et à mettre en place des actions concrètes pour un avenir plus durable.
Engagement citoyen et écoresponsabilité
Depuis plus de dix ans, LDLC Asvel s’illustre par son engagement citoyen. En menant diverses initiatives locales, le club se positionne comme un acteur clé dans le domaine du sport responsable. Le soutien de nouveaux mécènes vient renforcer cette dynamique en intégrant des valeurs de vulnérabilité, d’insertion sociale et d’éco-responsabilité. Ainsi, le club se donne les moyens de créer des synergies entre le monde du sport et les besoins de la société actuelle.
La vision de l’écologie au sein du club
Dans cette quête de durabilité, LDLC Asvel ne se limite pas seulement à la performance sportive. Le club souhaite également sensibiliser son public aux problématiques écologiques. Ce modèle d’économie durable et d’écoresponsabilité est en phase avec la montée des enjeux environnementaux dans le sport moderne. Des actions comme la création d’une section de basket adapté pour des patients de l’hôpital Femme Mère Enfant à Bron illustrent cette approche inclusive.
Adhésion de nouveaux mécènes : un pas vers l’avenir
La récente adhésion de trois nouveaux mécènes au sein du programme citoyen de LDLC Asvel marque également un tournant. Les dirigeants de LDLC, Adéquat, et Ciril Group ont entendu l’appel du club à joindre leurs forces pour mener cette initiative ambitieuse. Ces partenariats permettent d’impliquer des entreprises locales dans une démarche de responsabilité sociale, tout en consolidant l’engagement environnemental du club.
Collaborations avec les collectivités locales
Collaboration est le maître mot du programme ASVEL Citoyen. Maureen Reat, directrice adjointe de la Tony Parker Adéquat Academy, souligne l’importance d’intensifier les actions déjà menées avec les associations locales. Des projets structurants comme ceux établis avec la Ville de Villeurbanne visent à favoriser un meilleur lien entre le sport et la communauté. L’objectif est de créer des connexions durables qui profitent à toutes les parties impliquées.
Un bilan carbone comme objectif principal
Afin de comprendre son impact écologique, LDLC Asvel envisage la réalisation d’un bilan carbone. Ce premier pas dans l’évaluation de son empreinte carbone est crucial pour déterminer les actions futures à mettre en œuvre. Le club reconnaît l’importance de mesurer son impact environnemental, notamment en ce qui concerne les déplacements liés aux compétitions et aux entraînements.
Mobiliser le staff et les supporters
Mesurer son impact carbonique nécessite l’implication de l’ensemble des acteurs du club, des joueurs aux membres du staff, en passant par les supporters. Selon Maureen Reat, « embarquer les équipes dans cette réflexion est essentiel pour établir une feuille de route efficace. » Cette mobilisation collective permettra de développer une stratégie cohérente pour réduire leur empreinte écologique.
Les défis de l’écoresponsabilité dans le sport
Le défi de l’écoresponsabilité est un enjeux majeur porté par LDLC Asvel. En tant que club public, il se doit d’être un modèle pour d’autres organisations sportives. D’ailleurs, d’autres clubs ont déjà commencé à mettre en œuvre des pratiques durables, notamment en matière de transport et de consommation d’énergie.
Apprentissage à partir d’initiatives existantes
Un aspect fondamental de ce projet réside dans l’apprentissage à partir des initiatives existantes. Par exemple, de nombreux clubs européens de basketball ont déjà mis en place des stratégies de durabilité et de responsabilité sociale, qui pourraient servir de modèle. LDLC Asvel n’est pas seuls dans cette aventure et souhaite s’appuyer sur les meilleures pratiques pour maximiser son impact.
La place de la technologie dans l’évaluation environnementale
Dans un monde où la technologie prend une place de plus en plus importante, le club envisage l’utilisation d’outils numériques pour calculer son empreinte carbone. Cela pourrait inclure des applications pour suivre les déplacements des équipes ou pour mesurer la consommation d’énergie au sein des infrastructures sportives. Une telle digitalisation permettrait d’obtenir des données fiables et d’évaluer avec précision les actions à mettre en place.
La sensibilisation par l’éducation
Au-delà de l’évaluation de son empreinte carbone, le club a également pour ambition d’éduquer ses membres et ses fans sur les enjeux environnementaux et le développement durable. Il s’agit d’une démarche clé qui pourrait voir la création d’ateliers, de conférences et d’événements dédiés à la sensibilisation. Son objectif est de créer une communauté engagée autour du sport respectueux de l’environnement.
Perspectives d’avenir pour LDLC Asvel
En projetant d’évaluer son bilan carbone, LDLC Asvel aspire à devenir un modèle d’écoresponsabilité dans le monde du sport. Ce projet ambitieux pourrait bien être un exemple à suivre pour d’autres clubs cherchant à impliquer leurs parties prenantes tout en minimisant leur impact environnemental.
Un partenariat avec le mouvement sportif européen
En s’inscrivant dans cette logique, le club envisage également de collaborer avec le mouvement sportif européen pour promouvoir les valeurs d’écoresponsabilité. En partageant ses expériences et ses résultats, LDLC Asvel pourrait inciter d’autres clubs à repenser leur impact sur l’environnement. Cela pourrait déboucher sur un véritable mouvement collectif, incitant le sport à devenir un vecteur de changement positif pour notre planète.
Les résultats attendus de cette initiative
L’évaluation et la réduction de l’empreinte carbone de LDLC Asvel devraient avoir des impacts significatifs à plusieurs niveaux. À court terme, le club devrait pouvoir identifier les sources majeures de son émission de CO2 et mettre en place des actions précises pour les réduire. À long terme, cette initiative pourrait donner naissance à une culture du développement durable, touchant tous les membres du club.
Le rôle des fans et des communautés locales
Il est également primordial que les fans et les communautés locales se sentent concernés par cette démarche. À mesure que le club s’engage à réduire son empreinte environnementale, l’adhésion des supporters et leur participation active à ces initiatives pourrait faire une différence tangible. Des événements communautaires, des campagnes de sensibilisation, et des événements sportifs écoresponsables pourraient contribuer à renforcer ce lien.
Evaluation des mobilisations futures
À mesure que cette initiative avance, LDLC Asvel devra continuellement évaluer et adapter ses stratégies en fonction des résultats obtenus. La mise en place d’indicateurs de performance clairs permettra de suivre les progrès réalisés et de déterminer les ajustements nécessaires. Ce processus d’évaluation continue est indispensable pour s’assurer que le club reste sur la voie d’une transition durable.
La collaboration avec d’autres entités sportives
Pour maximiser son impact, LDLC Asvel souhaite aussi collaborer avec d’autres entités sportives qui poursuivent des objectifs similaires. Cela pourrait prendre la forme de des échanges de pratiques, de conseils mutuels et de projets communs. L’idée est de créer une dynamique où la responsabilité sociale et environnementale devient la norme au sein du milieu sportif.
Conclusion sur l’impact potentiel de cette démarche
Le projet de LDLC Asvel d’évaluer son empreinte carbone et de mettre en œuvre une politique écoresponsable est une initiative prometteuse, à la fois pour le club et pour le mouvement sportif en général. En menant cette action, LDLC Asvel pourrait bien ouvrir la voie vers un avenir sportif plus durable, incitant d’autres clubs à suivre cet exemple. La fusion entre sport et respect de l’environnement pourrait alors se révéler être la nouvelle norme.
LDLC Asvel : Un engagement pour l’environnement
Le club de basket LDLC Asvel, sous la présidence de Tony Parker, se lance dans une véritable dynamique écoresponsable. Avec l’adhésion de nouveaux partenaires tels que LDLC, Adéquat et Ciril Group, LDLC Asvel entame une réflexion approfondie sur son impact environnemental. Ces mécènes, déjà présents dans le cadre de son programme citoyen, soutiennent désormais le club dans sa volonté de réduire son empreinte carbone.
Maureen Reat, directrice adjointe de la Tony Parker Adéquat Academy et responsable du programme Asvel citoyen, a déclaré : « Nous devons embarquer à la fois le staff, les joueurs et les supporters pour mesurer globalement le travail à accomplir et appliquer une feuille de route efficace. » Ce témoignage souligne l’importance de l’implication de toutes les parties prenantes dans ce projet ambitieux.
Un exemple concret de cet engagement est la section de basket adapté récemment ouverte par le club, qui permet à près de 60 licenciés issus de l’hôpital Femme Mère Enfant de s’entraîner régulièrement. Avec quatre créneaux d’entraînement par semaine, cette initiative dépasse même la moyenne observée dans les clubs européens, illustrant ainsi le dévouement d’Asvel envers toutes les communautés.
En réfléchissant à un bilan carbone structuré, LDLC Asvel s’inscrit dans une démarche proactive de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Lors d’une récente réunion, Maureen Reat a également souligné que « nous sommes en réflexion sur le sujet » en ce qui concerne les prochaines étapes pour quantifier leur impact écologique.
Dans le cadre de cette initiative, des actions déjà en cours, telles que celles réalisées en collaboration avec le centre Léon Bérard et la ville de Villeurbanne, visent à établir des projets concrets entre les clubs sportifs et les collectivités. Ce programme, intitulé Générations 2024, accorde une priorité à l’insertion sociale et à l’écoresponsabilité.